Il peut s'abattre sur n'importe qui, n'importe quand. Il attaque masqué sur la place publique, dans les cours d'école, au travail, humilie, viole l'intimité et pousse parfois au suicide. Le cyberharcèlement est assurément une forme de torture moderne. Toutes les agressions sont permises : insultes, moqueries, rumeurs, usurpations d'identité, ou encore espionnage : que fait la police pour confondre les cybercriminels ? Presque rien. Que dit la justice ? A peine davantage. Enquête sur un mal moderne difficilement saisissable, aux conséquences parfois tragiques.